Journée d’été indien dans la cité, avec plein d’indiennes qui ont le cul qui sautillent sous la brise venue du fleuve. Les mecs, eux, ont fait leur deuil de la torpeur de l’été et des images moites. Ils se contentent de mater, de faire la provision de culs sautillants pour l’hiver.
Elle, elle traverse tout ça sous un soleil sans ombres, avec un début de sourire aux commissures des lèvres. Ca ne lui déplait pas de se retrouver épinglée dans les orbites d’indiens en pré-hibernation.
C’est beau un indien juste avant qu’il s’endorme!
